C’est la suite de « Thomas joue ses perruques » sauf qu’il n’y a plus de perruques (ça me grattait trop), mais il y a toujours des personnages doux, durs, drôles, tristes, fous, folles, « full » de leurs petites névroses partageuses et de leurs grands bazars de caractères.
C’est la suite de « Thomas joue ses perruques » sauf qu’il n’y a plus de perruques (ça me grattait trop), mais il y a toujours des personnages doux, durs, drôles, tristes, fous, folles, « full » de leurs petites névroses partageuses et de leurs grands bazars de caractères.
